bonjour, j'aimerais échanger avec vous au sujet du support de communciation de la fête du 16 sept - 10 minutes env - et devrai ensuite partir à 22h00 ce soir - à toute!
NEW SITE WEB: votre contribution - Compléments d'info:
"Tim vous propose un accès facile par l'intermédiaire de ce mail pour y mettre vos textes et autres photos, plans et articles.
L'idée est que chacun fasse un petit bout : vous prenez 1 à 2h seul ou à deux selon les thèmes que vous connaissez bien, en fonction des commissions aux quelles vous avez participé.
Merci de vous organiser à l'intérieure de chaque commission ou de voir comment vous pouvez participer facilement à ce site public.
Nous pourrons ainsi avoir facilement une vitrine pro, complète, intéressante et qui sait, peut-être même drôle (ce serait la cerise sur le gâteau) de Soub7 pour le 16 septembre. A très vite!"
Désolé, les Zehetbauer-Grosjean s'excusent pour ce soir. C'est l'anniversaire de Josephine! On va fêter un peu et on enchaine avec l'adim de fin d'année. Ouff, trop de choses, désolé, On sera plus dispo en juillet! bonne réu.
PLUS D'ESPACE... sur la terrasse... l'idée de l'un de nos récents visiteurs... PAS MAL, NON ?
Désolés, nous ne serons pas présents le 4 juillet.
Une réflexion plus globale sur l'aménagement de la toiture et la place réservée aux éléments techniques pourrait peut-être nous permettre de l'investir de manière plus optimale...
Pour info, j'ai commandé l'appareil wifi, je pense que ça va être livré en début de semain prochaine. Je l'installe, et j'avertie tt le monde de la marche à suivre.
Si j'ai bien compris, il faut passer le message que nous ne devrion pas utiliser le bouton reset des boitiers dans nos apparts.
Il me semble qu'il faudrait d'abord se demander à quoi sert l'éducation…
Traditionnellement, l'éducation servait à préparer l'enfant à entrer dans le monde des adultes, à lui en faciliter l'accès. Comment ? En lui apprenant les règles qui régissaient le monde des adultes. Il pouvait ainsi s'y glisser sans avoir l'impression d'atterrir sur la planète Mars.
Et tout aussi traditionnellement, un tas d'adultes se chargeaient, sans qu'il soit besoin d'un accord formel, de l'éducation de tout enfant qui passait à sa portée : les tantes, parrains, marraines, grands-parents, et dans un cercle plus large, les voisins, voisines du quartier. Ce type d'organisation fonctionne depuis la nuit des temps. Et est toujours de règle en dehors de l'Occident.
Puis, mai 68 est passé par là. Les adultes-parents ont décidé qu'ils avaient seuls le droit d'éduquer leurs enfants et qu'ils étaient bien sûr capables de le faire. Les aînés qui avaient fait les mêmes erreurs que les nouveaux parents, mais qui avaient appris avec le temps et la réflexion, ont été écartés. Actuellement, il n'y a guère que les services sociaux qui peuvent remettre en question l'autorité des parents. A Genève, le SSEJ, le SPMi, ne s'en privent d'ailleurs pas, se mêlant régulièrement de ce qui ne les regarde pas et laissant des situations se déliter au lieu d'intervenir…
Les parents, donc, qui ont pris les pleins pouvoirs sur l'éducation de leurs enfants, se sont privés aussi de l'aide qui pouvait leur être apportée. En effet, la plupart travaillent et n'ont pas le temps d'éduquer vraiment les enfants, (excepté quelques heures par jour). La tâche est confiée aux écoles maternelles et primaires dont ce n'est pas le rôle. Une école est là pour instruire, non pour éduquer. Et les adultes qui auraient le temps, le désir d'intervenir, n'osent plus le faire, par peur des critiques desdits parents.
Il m'a semblé qu'à la dernière assemblée, un mouvement s'est dessiné en faveur d'une éducation plus collective dans la maison et une demande d'aide a été assez clairement exprimée. Les discussions, y compris sur ce forum, portent surtout sur la forme. C'est plutôt le fond, c'est-à-dire le but, qui devrait, à mon avis, être mis en avant : l'éducation sert à préparer l'enfant à entrer dans le monde des adultes sans trop de heurts.
De là, quelques évidences : les règles mises en place par consensus par les adultes sont aussi à respecter par les enfants.
- les balcons ne se traversent pas, par respect des habitants qui y ont leur logement. On peut traverser un balcon par besoin et après avoir obtenu l'accord des habitants des appartements concernés. Les enfants peuvent faire de même.
- les enfants crient dans les corridors le mercredi après-midi, et le dimanche matin. Mais les adultes parlent fort jusqu'à tard dans la nuit les vendredi et samedi soirs. Un effort pour montrer l'exemple ne serait-il pas le bienvenu ? On ne peut pas non plus, me semble-t-il, exiger des enfants, ce qu'on se permet en tant qu'adulte…
Les émissions de télévision telle que « super nanny » ont un énorme succès. Si on les décortique, elles sont basées sur des règles de discipline, toujours les mêmes dans leur fondement, même si elles varient en fonction des situations, de l'âge, etc.
- première règle : « ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'il te fasse. » C'est une règle de droit coutumier, même si elle a été reprise par un grand nombre de religions. Sans cette règle, on tombe dans une société où la loi du plus fort règne (c'est aussi une règle).
- ensuite, un panneau qui rappelle les règles communes est fixé dans les maisons/appartements : ce sont dans l'ensemble, celles du respect dû à autrui, du simple fait de l'existence d'autrui et non de sa hiérarchie sociale.
Comment Super Nanny les fait-elle respecter ces règles ? Elle attend que l'enfant se calme et pour y arriver, le maintient parfois un bon moment, puis explique à l'enfant ce qu'elle attend de lui, en lui parlant à sa hauteur. Punition consistant généralement à être isolé dans sa chambre ou dans un coin, un nombre de minutes égal à son âge. Et au sortir de la punition, en demandant à l'enfant s'il a compris pourquoi il a été puni.
Le succès de ces émissions montre bien que l'art de l'éducation se perd. Bien sûr, les châtiments corporels doivent être évités, même si une bonne fessée est parfois un argument plus convainquant qu'un long palabre pour les récalcitrants. Dans le monde adulte, l'exclusion remplace la fessée. On apprend aussi en se faisant virer de son travail.
En résumé, il me semble
- qu'un adulte devrait pouvoir reprendre un enfant, sans crainte de se faire critiquer par les parents,
- qu'il est bien de garder en tête le but de l'éducation : cela donne une ligne de conduite à chacun, évite les dérapages, et permet une certaine tolérance vis-à-vis de l'intervention d'un adulte envers un enfant.
Désolée, je serai absente, merci de m'excuser, bonne réunion !
bonjour, j'aimerais échanger avec vous au sujet du support de communciation de la fête du 16 sept - 10 minutes env - et devrai ensuite partir à 22h00 ce soir - à toute!
Un Baritone, à l'essai
NEW SITE WEB: votre contribution - Compléments d'info:
"Tim vous propose un accès facile par l'intermédiaire de ce mail pour y mettre vos textes et autres photos, plans et articles.
L'idée est que chacun fasse un petit bout : vous prenez 1 à 2h seul ou à deux selon les thèmes que vous connaissez bien, en fonction des commissions aux quelles vous avez participé.
Merci de vous organiser à l'intérieure de chaque commission ou de voir comment vous pouvez participer facilement à ce site public.
Nous pourrons ainsi avoir facilement une vitrine pro, complète, intéressante et qui sait, peut-être même drôle (ce serait la cerise sur le gâteau) de Soub7 pour le 16 septembre. A très vite!"
Bonsoir!
J'ai un empêchement familial.
Veuillez m'excuser ce soir...bonne réunion!
Eva
merci de m'excuser pour jeudi 6 juillet
Helo,
Désolé, séance du comité Bateau le soir.....
Je fait confiance au bon choix de mes voisines et voisins!
bises
Linda
Merci bien Tim
Veuillez nous excuser, avec Céline on sera en vacances ! A la prochaine,
Martial
à ajouter à l'OdJ? insonorisation des tuyaux de ventilation du 3e étage
Courage Linda, et bonne anniversaire à Joséphine.
C'est clair, elle vous berne votre ado...
Ouaih, je confirme que ça a tt l'aire d'une brulure de clope qu'elle aurais laissé ;)
Helo les voisin-e-s,
Désolé, les Zehetbauer-Grosjean s'excusent pour ce soir. C'est l'anniversaire de Josephine! On va fêter un peu et on enchaine avec l'adim de fin d'année. Ouff, trop de choses, désolé, On sera plus dispo en juillet! bonne réu.
Linda
aussi en vadrouille... dommage, j'aime bien les maquettes ! à bientôt
PLUS D'ESPACE... sur la terrasse... l'idée de l'un de nos récents visiteurs... PAS MAL, NON ?
Désolés, nous ne serons pas présents le 4 juillet.
Une réflexion plus globale sur l'aménagement de la toiture et la place réservée aux éléments techniques pourrait peut-être nous permettre de l'investir de manière plus optimale...
Nicolas
Juillettistes.
Tant pis pour moi :-)
Danya
Pour info, j'ai commandé l'appareil wifi, je pense que ça va être livré en début de semain prochaine. Je l'installe, et j'avertie tt le monde de la marche à suivre.
Si j'ai bien compris, il faut passer le message que nous ne devrion pas utiliser le bouton reset des boitiers dans nos apparts.
Belle journée,
Tim
Salut Nicolas, je suis forte interessé, mais je ne vois pas l'image, pourrais-tu me l'envoyer pour que je puisse m'assurer de son partage?
Bonjour tout le monde !
Il me semble qu'il faudrait d'abord se demander à quoi sert l'éducation…
Traditionnellement, l'éducation servait à préparer l'enfant à entrer dans le monde des adultes, à lui en faciliter l'accès. Comment ? En lui apprenant les règles qui régissaient le monde des adultes. Il pouvait ainsi s'y glisser sans avoir l'impression d'atterrir sur la planète Mars.
Et tout aussi traditionnellement, un tas d'adultes se chargeaient, sans qu'il soit besoin d'un accord formel, de l'éducation de tout enfant qui passait à sa portée : les tantes, parrains, marraines, grands-parents, et dans un cercle plus large, les voisins, voisines du quartier. Ce type d'organisation fonctionne depuis la nuit des temps. Et est toujours de règle en dehors de l'Occident.
Puis, mai 68 est passé par là. Les adultes-parents ont décidé qu'ils avaient seuls le droit d'éduquer leurs enfants et qu'ils étaient bien sûr capables de le faire. Les aînés qui avaient fait les mêmes erreurs que les nouveaux parents, mais qui avaient appris avec le temps et la réflexion, ont été écartés. Actuellement, il n'y a guère que les services sociaux qui peuvent remettre en question l'autorité des parents. A Genève, le SSEJ, le SPMi, ne s'en privent d'ailleurs pas, se mêlant régulièrement de ce qui ne les regarde pas et laissant des situations se déliter au lieu d'intervenir…
Les parents, donc, qui ont pris les pleins pouvoirs sur l'éducation de leurs enfants, se sont privés aussi de l'aide qui pouvait leur être apportée. En effet, la plupart travaillent et n'ont pas le temps d'éduquer vraiment les enfants, (excepté quelques heures par jour). La tâche est confiée aux écoles maternelles et primaires dont ce n'est pas le rôle. Une école est là pour instruire, non pour éduquer. Et les adultes qui auraient le temps, le désir d'intervenir, n'osent plus le faire, par peur des critiques desdits parents.
Il m'a semblé qu'à la dernière assemblée, un mouvement s'est dessiné en faveur d'une éducation plus collective dans la maison et une demande d'aide a été assez clairement exprimée. Les discussions, y compris sur ce forum, portent surtout sur la forme. C'est plutôt le fond, c'est-à-dire le but, qui devrait, à mon avis, être mis en avant : l'éducation sert à préparer l'enfant à entrer dans le monde des adultes sans trop de heurts.
De là, quelques évidences : les règles mises en place par consensus par les adultes sont aussi à respecter par les enfants.
- les balcons ne se traversent pas, par respect des habitants qui y ont leur logement. On peut traverser un balcon par besoin et après avoir obtenu l'accord des habitants des appartements concernés. Les enfants peuvent faire de même.
- les enfants crient dans les corridors le mercredi après-midi, et le dimanche matin. Mais les adultes parlent fort jusqu'à tard dans la nuit les vendredi et samedi soirs. Un effort pour montrer l'exemple ne serait-il pas le bienvenu ? On ne peut pas non plus, me semble-t-il, exiger des enfants, ce qu'on se permet en tant qu'adulte…
Les émissions de télévision telle que « super nanny » ont un énorme succès. Si on les décortique, elles sont basées sur des règles de discipline, toujours les mêmes dans leur fondement, même si elles varient en fonction des situations, de l'âge, etc.
- première règle : « ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'il te fasse. » C'est une règle de droit coutumier, même si elle a été reprise par un grand nombre de religions. Sans cette règle, on tombe dans une société où la loi du plus fort règne (c'est aussi une règle).
- ensuite, un panneau qui rappelle les règles communes est fixé dans les maisons/appartements : ce sont dans l'ensemble, celles du respect dû à autrui, du simple fait de l'existence d'autrui et non de sa hiérarchie sociale.
Comment Super Nanny les fait-elle respecter ces règles ? Elle attend que l'enfant se calme et pour y arriver, le maintient parfois un bon moment, puis explique à l'enfant ce qu'elle attend de lui, en lui parlant à sa hauteur. Punition consistant généralement à être isolé dans sa chambre ou dans un coin, un nombre de minutes égal à son âge. Et au sortir de la punition, en demandant à l'enfant s'il a compris pourquoi il a été puni.
Le succès de ces émissions montre bien que l'art de l'éducation se perd. Bien sûr, les châtiments corporels doivent être évités, même si une bonne fessée est parfois un argument plus convainquant qu'un long palabre pour les récalcitrants. Dans le monde adulte, l'exclusion remplace la fessée. On apprend aussi en se faisant virer de son travail.
En résumé, il me semble
- qu'un adulte devrait pouvoir reprendre un enfant, sans crainte de se faire critiquer par les parents,
- qu'il est bien de garder en tête le but de l'éducation : cela donne une ligne de conduite à chacun, évite les dérapages, et permet une certaine tolérance vis-à-vis de l'intervention d'un adulte envers un enfant.
Voilà donc mon opinion réfléchie sur la question.
Claire-Hélène
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